Je dis ça, je ne dis rien...

Voici la terre, 2009 ans après Jésus Christ. Une terre gouvernée par la politique et l'argent sans compter le gout pour le pouvoir.

Nous, habitants malgré soit, sommes en train de s'enterrer vivant par notre avarice, notre soif de règne sur les autres. Nous ne comptons plus sur l'espoir de vivre mais plus sur la survie.

Je ne trouve plus ma place dans mon propre pays ou règne un gout certain pour la culture de l'argent. Toujours plus a ne plus en pouvoir. Nous qui trimons comme des acharnés pour gagner même pas de quoi nous nourrir suffisamment. Nous essayons constamment de sortir la tête hors de l'eau pour nous permettre de respirer un peu.

Moi je dis stop à tout cela. Je ne peux plus donner ma vie pour ne rien voir. Où se retrouvent mes efforts et ma hargne? Nulle part. Moi, comme la plupart des concitoyens de notre pays, nous nous en sortons plus. Déposons la clefs sous la porte ou jettons l'éponge à terre.

Que faire pour avoir un peu plus de bon-vivre? Cumuler? Mettre sa vie de coté? Abandonner corps et âme au travail sans pouvoir profiter de certains instants?

Trouvez-vous cela normal? Notre très cher ministère, état, président s'en foutent plein les poches sur notre dos. Une augmentation de 100% pour sa première année, est-ce normal? Qu'a-t-il fait au juste pour se permettre cela? Et nous dans tout cela qu'avons nous? Les restes? Laissez moi rire nous n'avons même pas ce privilège, il est réservé à la bourgeoisie, ou aux nouveaux riches.

Est-ce normal qu'il y est encore des personnes qui ne savent plus comment régler leurs factures à cause d'un salaire moyens en bas du seuil de pauvreté? Que certains n'ont même plus de quoi vivre une fois leurs dettes payées.

Que doit-on faire? Migrer? J'y pense sérieusement de plus en plus. Peut-être est-ce la solution adéquate... Où en est notre devise, Liberté Égalité Fraternité... Ou sont nos valeurs acquises avec tant de mal?

Peut-être serais-je un perpétuel insatisfait aussi, je n'en sais rien. Mais quand je regarde autour de moi je me dis que non. Je ne suis pas le seul à ne plus en pouvoir.

Je me dis en même temps que l'on a que ce que l'on mérite. Enfin...

Le temps me dira bien ce qu'il faudra faire de mieux...

Douce France... Paisible France... Souffrante France...

Les joies de la fraternité, les peines, les coups de gueules, les énervements... La fraternité quoi!

J'avais toujours voulu avoir un grand frère, pour pouvoir me sentir protégé ou écouté, pour partager certaines choses que tu ne peux dire aux personnes adultes, aux parents castrateurs et protecteurs. Une personne sur qui compter pour partir en bringue en douce, faire les premières conneries d'enfant...

Mais aussi un frère avec qui l'on se chamaille et se bat pour un oui ou pour un non. Le dénoncer à sa place ou prendre une branlé à sa place.

Voilà que la vie me donna un frère mais bien plus jeune que moi, beaucoup plus jeune. Cadet de 22 ans. Imaginez ce que j'endure quand je passe voir ma famille. Il est enfant roi, tout lui est dû et tout doit être fait pour son "bien être". Ce qui a tendance à m'insuporter. 

Je suis une personne plutôt calme en temps normal, mais avec lui j'arrive à perdre mon self contrôle du à ses crises de violence, de malhonnêteté, d'insulte, de non respect de la parole d'un adulte etc...

Jeme sens plus comme frère mais plutot comme "père" dans le sens moralisateur,educateur etc... Ce qui est encore plus afreux car cela n'est pas mon rôle de grand frère.

Pourtant j'ai vu beaucoup de famille ayant des enfants avec de grands écrats d'âge, et à chaque foi je n'ai pas l'impression de voir ma situation chez eux.

Enfin je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi tout

Les Hommes sont quand même assez triturés par moment. Quand ils ont ce qu'ils veulent, ils veulent autre chose et quand ils n'ont pas ce qu'ils veulent, ils font tout pour l'avoir. Serions-nous des perpétuels insatisfaits? Comment en sommes nous arrivé à ce point?

Les grands "maux/mots" de cette insatisfaction sont l'argent, le bonheur, l'attrait matériel, le pouvoir, l'amour, l'apparence...

Je vais traiter que d'un seul de ces cas. L'amour.

La bête noire, la veuve noire, celle qui nous bouffe, nous ronge et nous met dans tous nos états. Celle que l'on aime au point de la haïr et que l'on haït au point de l'aimer éperdument, celle pour qui nous serions prêt à déplacer des montagnes et boir l'eau des océans,.. Ce sentiment si fort avec qui nous pourrions nous construire, nous épanouir mais nous détruire aussi...  Pourtant, et de fait, nous devrions vivre cet instant pleinement sans se soucier du lendemain. Car quand on parle d'amour, nous parlons bien tous du même sentiment. Alors pourquoi faut il toujours qu'il y en ai un des deux qui fasse tout capoter?

Regardez les relations sentimentales, Il y en aura toujours un ou une qui aimera l'un plus que l'autre. L'un des deux ira voir ailleurs car il/elle sera plus beau/belle que la personne qui accompagne sa vie. Sinon ceux qui veulent les avantages de la vie de couple sans les inconvénients. etc... Je pourrais lister tout cela, ce qui me prendra un bon nombre de lignes et de temps.

Nous sommes entré dans un système de consommation abusive. Je m'explique: Nous consommons toujours plus et toujours plus rapidement afin calmer sa soif d'en avoir toujours plus. On multiplie les rencontre, nous consommons cette rencontre et avant même de laisser le temps faire son bout de chemin, que nous pensons aux prochaines rencontres.Le pire dans tous ça, c'est que nous sommes même pas capable d'assumer cela en disant les choses franchement à la personne concernée.

Je vois cela avec mon vécu, une rencontre centrée sur un plaisir physique, l'alchimie se fait très bien. Nous nous revoyons, plusieurs fois. Partageons plus que le plaisir physique. Mais, cette personne ne veux pas plus même-ci tout se passe bien. Elle (cette personne) souhaite garder sa liberté de batifoler ailleurs. Pourquoi ??? Si la satisfaction est présente rechercher toujours plus? Ah mais oui !!! Je m'en souviens maintenant, l'herbe est toujours plus verte chez le voisin ou plutôt devrais-je chez LES voisins... Le pire dans tout cela, c'est que cette personne à décider de faire silence radio du jour au lendemain. Sans aucune explication et sans aucune réponse à mes appelles. Mais assumez un minimum vos actes, dites les choses au lieu de faire le mort.

Vous craignez quoi de dire ce que vous pensez et vivez... Le dialogue ne tue pas, le silence oui. Il n'y a rien de pire que de laisser une personne dans l'isolement créé par vous même et votre lâcheté. Un simple "stop" serait tellement mieux...

Bref, je ne vais pas non plus m'étaler dessus non plus, j'ai autre chose de mieux à faire que de reparler de ces histoires la car elles appartiennent au passé. Mais vous chers lecteurs, comment agissez vous? Comment réaliseriez-vous face à cela? Êtes-vous du genre à laisser couler sans vous soucier ou le contraire, à vous ronger les ongles jusqu'à sang? 

Je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi tout

Le coeur a ses raisons que la raison ignore.

Comment notre raison peut être mise de côté par notre coeur. Pourtant la raison est le fondement de notre soi, de notre façon de concevoir et de vivre les choses. Comment se fait-il qu'un simple rendez-vous ou nuit puisse nous chambouler notre raison? Comme-ci il était le centre de notre "moi". Combien de fois me suis-je dit qu'il fallait que je me durcisse le coeur afin de ne pas retomber dans les méandres de la douceur des sentiments. Mais cela m'est impossible. Je n'arrive pas à me dire que "Non, ce ne sera pas pour une histoire". Quand j'éprouve quelques chose, ma raison se perd ou se noie sous un flux immense de sentiment et de fleurs bleues.

Pourtant avec mon vécu je devrais être saturé de cela, mais non. Même avec du travail sur moi même c'est mon coeur qui continue de me faire frémir et vibrer. J'aimerais bien pourtant avoir un petit coeur de pierre afin de ne plus être mal dans ce genre de situation. Mais cela voudrait dire que je ne serais plus moi même, du coup me mentir par la même occasion.

Mais quel dilemme, choisir entre se durcir le coeur et se perdre ou bien rester soi même et se perdre aussi. Que vaut-il le mieux selon vous? Se protéger de tous danger ou bien se laisser aller et tomber de haut à chaque fois? Soit nous nous forgeons une muraille ne laissant rien passer au point de louper de belles choses, ou alors se dire "qui ne tente rien n'a rien" et finir par souffrir suite aux séparations et autre? 

Je ne sais toujours pas ou me situer dans ses choix. Ma raison me fuit et mon coeur me lâche la main, me poussant vers l'inconnue et le plus souvent vers la souffrance.

Je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi tout

Voici un mot très tabou chez nous. "SEXE", pourtant pratiqué par nous tous aujourd'hui et sous de multiples pratiques plus ou moins "Hard". Mais je ne m'étalerai pas dessus, je veux juste parler de sexe. Il faut savoir que certaines personnes développent une addiction, pouvant avoir de lourdes conséquences sur la vie professionnelle ou personnelle. Ou complètement l'invers, aucunes envie de sexe par choix personnel, religion ou autre. En fait chaque personne à son point de vue et envies, un peu comme les goûts musicaux ou culinaires.

Personnellement, je vis ma sexualité assez bizarrement, tantôt de fortes pulsions et d'autre fois zéro, aucune envie. Cela joue-t-il aussi avec l'autre? Son corps, son odeur, sa gestuelle, etc... Je pense que oui, que l'on soit hétérosexuel, bisexuel ou homosexuel. La chimie joue un rôle majeur dans nos pulsions et désires. Comment peut-on passer du stade sans rien à des envies perpétuelles d'avoir un rapport. Même avec nos convictions personnelles nous pouvons faire des choses inimaginables.

Bon il faut dire aussi que les déviances sont nombreuses dans le secteur du sexe, comme la prostitution, le viol, l'inceste etc... Ce qui est plus ou moins condamnable (notamment viol et inceste). 

Sinon bon dieu qu'il est bon de prendre son pied en s'envoyant en l'air, je ne connais rien de mieux. Quand l'on tombe sur la bonne personne, l'envie devient de plus en plus grande. Je dis cela car je suis en plein dedans. Même après trois fois en moins de 24 heures, l'envie est toujours là et plus imposante. Cela en devient presque une drogue, mais une bonne drogue. Pourtant la personne ne rentre pas du tout dans mes "critères", mais une fois goûté à ce plaisir, mes critères n'ont été que de lointain souvenir.

D'ailleurs en parlant de critères, est-ce réellement utile de s'en imposer. On parle de taille, de poids, de la couleur des cheveux, de la peau, des yeux et autre. Mais n'est-il pas plus important de se fier aux appels de notre corps. Le laisser nous guider vers ce qu'il croît être le mieux pour nous en termes de chimie? Pourquoi nous mettons nous tant de barrière sociale et sélective pour cela? Est-ce encore une fois du à notre conditionnement à classifier tout ce qui nous est étranger. 

J'aimerai vous dire une chose, vivez pleinement votre sexualité, décomplexez-vous, vivez l'instant comme-ci celui-ci était votre dernier, Ne jugez pas sur le physique et faites vous plaisir. Tous ces facteurs de contraintes ne font que vous bloquer dans une prise de plaisir intense. Mesdames, ne jugez pas votre corps si durement, il y aura toujours un homme qui se retournera sur vous, Messieurs, arrêtez de rouler des mécaniques et faite juste voir ce qu'il ne faut, ne vous mentez pas à vous même et restez naturel. Vous, couple hétérosexuel, lâchez vous et mettez du piments dans votre sexualité pour conserver la découverte de l'autre, le meilleurs moyen de connaître votre partenaire est bien de lui procurer du plaisir. Vous, couple homosexuel, regardez votre partenaire comme un fantasme inaccompli afin de donner plus de feu dans votre cheminé.

Vous, lectrices et lecteurs, faites comme moi, vivez votre sexualité pleinement et décomplexez-vous, osez le faire en plein jour, dans toutes les pièces de votre appartement, dans une voiture sur un parking désert, dans la cage d'escalier à la sauvage, lâchez-vous. Vous verrez alors ce que le plaisir est réellement en faisant tomber toutes vos peurs sur vous. Et cela n'en sera que meilleurs pour celle ou celui qui est avec vous.

Je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi tout

Voici un article inutile, sans intérêt et voir même bon à mettre à la corbeille.

Mais je l'écris quand même.

Quand je regarde les journaux quotidiens genre "Métro", j'ai l'impression qu'il y a plus de mauvaises nouvelles que de bonnes, mise à part en sport. Tout est fait pour nous déprimer et nous casser le moral pour la journée? A quand un journal qu'avec de bonnes nouvelles, cela serait sympathique de pouvoir lire ce genres de nouvelles afin de nous redonner un coup d'époir dans ce monde assez tristement malmené. Je sais qu'il existe aux states, une chaîne télé ne divulguant que des bonnes nouvelles. Il me semble qu'elle s'appelle "Happy TV I". Le principe est vraiment bien car nous avons besoin d'avoir de bonnes informations aussi.

A force de voir que des "Bad News" ont finit par ne plus voir le côté positif de la vie et de notre pays ou monde. Oui nous savons tous que la guerre, la famine, le malheur, les magouilles sont présent en nôtre monde. Qu'il est important d'être tenu au courant (et encore même les médias sont contrôlés). Mais purée, une dose de bonheur n'a jamais fait de mal et redonne du courage pour affronter notre vie quotidienne.

J'ai pu lire qu'un homme de 41 ans en Chine est enfermé depuis 11 ans dans une cage suite à un délire schizophrénique. Bon il  frappé un enfant à mort, ce qui est grave en soit, mais il y a des institutions pouvant accueillir ce genre de personne au lieu d'être enfermé comme une bête. Ou encore qu'un nouveau né a été retrouvé dans une canalisation d'eaux usées, sauvé et en vie. Et j'en passe des meilleurs...

Enfin, ne prenez que le bon de ses journaux afin de ne pas vous démoraliser votre journée et partagez les bonnes nouvelles.

Je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi tout

Comme on le dit souvent, il faut bien un début à tout. Et bien j'ai décidé, aujourd'hui, d'écrire tout ce qui me passe par la tête. Vous pourrez y lire mes pensées, les ragots, ce que j'ai pu entendre ou voir, mes coups de gueule, mon histoire ou la vôtre enfin tout...

Peut-être qu'un jour, en lisant mes articles, vous vous y retrouverez un peu. Ou même pas du tout, ce qui est plus plausible. Mais ce qui est le plus important, selon moi, n'est autre que la liberté d'expression. L'une des plus belle chose que l'homme puisse avoir aujourd'hui. Ce n'est pourtant pas chose simple à vivre tout les jours, surtout dans certains pays ou cette liberté est bafouée et même voir proscrite.

Mais nous sommes en France, pays des libertés sous conditions.  Pays de la Liberté, de l'Egalité et de la Fraternité, le tout mis sous conditions bien évidemment.

Je commencerais ce blog par un événement qui m'a beaucoup interroger. Celle de la liberté et de l'égalité des droits de l'homme en France. Ce n'est autre que le mariage pour tous. Je n'ai pas envie d'émettre d'avis ou de jugement sur cette loi car cela risquerait de lancer un débat complètement stérile.

Comment, en France, peut-on faire autant de mouvement et de bruit pour un droit et une liberté qui nous est propre? En quoi cette loi chamboulera les habitudes de Madame et Monsieur tout le monde? Il y a eu des manifestations de grande ampleur pour une égalité qui ne changera en rien la vie des autres. Pourquoi n'ont-ils pas manifesté pour des causes plus graves comme la mise en place du plan d'austérité, le changement du statut du CDI en faveur du CDII (ce point là est passé sans un bruit durant les manif' contre le mariage pour tous, je tenais à vous le signaler), l'explosion du taux du chômage, la fermeture des grandes entreprises et usines françaises etc...

Est-ce si important que ça, d'interdire à deux êtres de faire valoir leur couple aux yeux de la société? Qu'est-ce que cela changera dans les chaumières françaises? Quand je vois l'Espagne, qui est un pays très catholique, qui n'a eu aucun soucis pour légaliser le mariage et l'adoption, ou encore au Royaume-Uni, c'est la droite qui a soutenue cette loi et la faite voter en à peine une heure pour montrer que ce pays dit "conservateur" fait tout pour garder ses fondements de liberté et de l'égalité.

Par moment je me pose la question de savoir si je pourrais faire, un jour, pleinement confiance à mon pays; Du Moins à ses citoyens.

Bref, ne soyez pas la France, mais faites la vivre. Sans nous, elle n'aurait jamais connu tout ces changements. Vous êtes la France et non l'inverse. Ne baissez pas les bras face à quelques personnes vivant au nom de leur France.

Je dis ça, je ne dis rien...

M. Jeudi Tout